Mais qui est donc Nicolas Gadeyne ? L’auteur de Devperso.TV

Mais qui est donc Nicolas Gadeyne ? Voyons ensemble qui est Nicolas Gadeyne, l’auteur de DevPerso.TV

Mais qui est donc Nicolas Gadeyne ? Voyons ensemble qui est Nicolas Gadeyne, l’auteur de DevPerso.TV

Intro

Cela fait déjà un petit moment que j’écris sur DevPerso.TV, mais je ne me suis jamais vraiment présenté…

Et si c’était l’occasion de me mettre à nu devant vous ?

Et si c’était l’occasion de vous raconter mon parcours, mon vécu et pourquoi j’en suis arrivé là ?

Dans cet article, j’ai décidé de parler de moi. ( ok ok, ça fait hyper mégalo… ). Mais surtout de parler de mon vécu, de mon parcours et pourquoi je suis là, à écrire des livres et des articles sur le développement personnel.

Notamment vous expliquer en partie ma descente au enfer et comment j’ai réussi à surmonter cette épreuve que je croyais insurmontable. Pire encore, comment je me suis relevé et là où j’en suis aujourd’hui.

Bonne lecture !

PS : J’attends votre avis avec impatience !

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Au programme du jour :

Tout allait bien dans le meilleur des mondes.

Je vais essayer de faire assez synthétique, car j’avoue être plutôt bavard, vous vous en doutez bien…

Jeune branleur de lycéen, sécheur de cours de profession, mais décidé à faire plaisir à ma mère, je fais au mieux pour réussir mes maigres études et avoir mon baccalauréat.

Pour information, j’ai repris tous mes cours un mois avant de passer l’examen et j’ai révisé au minimum cinq heures par jour dans ma bulle. J’avais dit à ma mère que j’aurai mon diplôme, alors il fallait bien que je me bouge les fesses pour l’avoir.

Première semaine de juillet, on m’annonce que j’ai mon baccalauréat avec mention. Je suis choqué, c’est du vol. Comment un gars comme moi, qui a passé ses journées de cours à bavarder ou à dormir a-t-il réussi à avoir une mention ?

Comme quoi, quand on se donne les moyens de réussir, on peut être surpris.

Trois semaines après, ma vraie vie démarre. Je prends le volant de ma vieille 206, direction Rochefort, afin d’entrer à l’école de gendarmerie.

De jeune branleur je passe à jeune élève soucieux, sérieux et voulant faire du mieux qu’il peut.

Pourquoi ? Parce que je sais pourquoi je le fais, je le fais pour moi, pour être gendarme et c’est selon moi (à cette époque) ma vocation. J’aime aider les autres et je me suis dit qu’il n’y avait pas meilleur moyen de le faire qu’en étant gendarmerie.
Je sors de ce stage après trois mois avec une note honorable et pars ce coup-ci en Bretagne, où j’y passe deux ans. C’est l’éclate pour moi, je suis heureux et épanoui, mais il faut bien que je monte en grade pour évoluer.

Je passe donc mon concours de sous-officier et retourne sur les bancs de l’école. Dans la plus magnifique des villes : Tulle !

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La descente au enfer.

Et là, j’enchaîne les problèmes…

Je commence par laisser une épaule sur le parcours du combattant, suis contraint d’arrêter ma formation, de me soigner et d’en recommencer une nouvelle.

C’est assez compliqué pour moi, je me pose un tas de questions, mais je serre les dents comme on m’a appris à le faire et j’avance.

Quelques mois plus tard, je reprends ma formation, mais un deuxième drame arrive.

Je me réveille un matin avec une douleur thoracique, je stresse et me pose des questions : « C’est bizarre non ? Dois-je consulter ? Non ça va aller… Oui, mais on sait jamais ! »

Je décide tout de même d’aller voir le médecin militaire, et j’ai plutôt bien fait. Après quelques questions, il me fait passer un électrocardiogramme, me regarde et me dit : « Je reviens, je vais appeler un ami. »

Je ne sais pas comment réagir, dois-je le prendre pour un fou ? Un incompétent ? Ou bien m’inquiéter ?

Il revient vers moi, regarde les résultats de l’électro et me dit : « Bon, j’ai appelé un ami cardiologue, je ne sais pas ce que tu as, mais c’est pas normal, je t’envoie aux urgences ! »

Deux semaines d’hospitalisation plus tard, le résultat est sans appel : j’ai un problème cardiaque.

À peine rentré à l’école de gendarmerie, on me met à la porte, on me dit que c’est fini, que je ne peux plus être gendarme, de prendre mes bagages et de rentrer chez moi.

Mais où ?!

Je n’ai plus de chez-moi, mon boulot c’est gendarme, ma maison c’est la caserne, mes amis sont gendarmes, et ma vie tourne autour de la gendarmerie.

Je ne vais pas vous mentir, ç’a été l’épreuve la plus difficile de ma vie !

Je retourne vivre chez mes parents, en mauvaise santé et dépressif

Le renouveau.

Et puis je sombre, un peu plus chaque jour, jusqu’au moment où je me dis : « Bon maintenant, faut sortir la tête de l’eau, sinon tu vas finir par te noyer ! »

Je n’aimais pas lire, je trouvais ça ennuyeux, long et n’y voyais que peu d’intérêt (oui oui, j’étais idiot à l’époque), mais ce jour-là, je décide de lire un livre sur le développement personnel (apparemment, ça pouvait m’aider).

Puis un deuxième.

Puis un troisième.

Et des dizaines de livres plus tard, je suis catégorique : les livres m’ont énormément apporté.

Ils m’ont aidé à comprendre que le bonheur était un choix, qu’il fallait aimer ce que l’on a et qu’il y a bien d’autres façons d’aider les autres qu’en étant gendarme.

Je sors donc la tête de l’eau, comprends que ma vie n’est pas éternelle, et qu’il faut la vivre maintenant, intensément et sans regret, avant qu’il ne soit trop tard.

Je rejoins ma compagne à Arcachon et débute une formation dans la création de sites web.

Je me forme au marketing, à la communication et décide de me lancer à mon compte. Cela fonctionne bien, alors je monte une agence web et nous nous retrouvons rapidement à cinq collaborateurs.

Et puis, un nouvel échec arrive, j’arrête mon activité.

Pourquoi ? Car je ne me sentais pas à l’aise, mon objectif de vie était d’aider les autres et là je passais mes journées à gonfler l’égo et le compte en banque de mes clients (qui parfois avait une éthique douteuse).

Alors je décide d’aider des associations caritatives à mieux communiquer, mais là encore, je n’étais pas persuadé du bien-fondé de mes actes. Je suis un homme d’action, j’aime aider les autres concrètement, pas être dans l’ombre.

Et puis, je commence à écrire sur un sujet qui me passionne : le développement personnel, et ce projet est né.

Aujourd’hui, mon objectif est d’écrire de nombreux livres (et bien d’autres projets) afin d’aider les personnes à s’épanouir et à devenir heureuses, comme certains ouvrages l’ont fait pour moi à une époque.

J’ai toujours eu ce besoin et cette envie d’aider les autres, alors aujourd’hui, je fais du mieux que je peux en relatant le résultat de mes expériences et recherches sur le développement personnel.

Conclusion

Résumé.

Pour résumer, les dernières années n’ont pas été très simples pour moi…

Pourtant, aujourd’hui je suis heureux, j’ai trouvé ma voie et je suis fier d’aider les autres à devenir plus heureux au quotidien via mon livre, mes articles de blog et mes contenus sur les réseaux-sociaux sur la thématique du développement personnel et notamment la relation humaine.

Et je pense sincèrement que sans ce qui m’est arrivé, rien de cela ne serait possible. ( Ma vie serait très différente c’est clair ! ).

Si vous aussi, vous avez vécu des choses difficiles dernièrement, je vous assure que ce n’est que le début et qu’une belle suite vous attend ! Il faudra cependant savoir être patient.

Aller plus loin.

Je vous remercie d’avoir lu cet article jusqu’au bout.

De mon côté, je vous propose deux choses :

  • Me faire un retour en m’envoyant un e-mail, en commentant ou en m’envoyant un message privé sur les réseaux-sociaux.
  • En partageant l’article pour aider le plus grand nombre.

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