
Vous ne savez pas communiquer !
21 étapes pour mieux communiquer avec vos proches, vos amis et même vos collègues de travail.
Choisissez votre format préféré !
Livre disponible sur toutes les plateformes ainsi que dans toutes les librairies. (A la commande).
« Si la technologie de communication est de plus en plus développée, pourquoi sommes-nous chaque jour plus sourds et plus muets ? »
– Eduardo Galeano.
Mon constat
Vous ne savez pas communiquer avec les autres, et le pire c’est que vous ne vous en rendez même pas compte…
Voici un constat général que j’ai fait ces dernières années. Aussi bien au sein de mon expérience dans la Gendarmerie Nationale, lorsque j’ai créé ma société, via ma visibilité sur LinkedIn ou encore plus récemment quand j’ai rejoint une startup.
En effet, plus ça va et plus les communications interpersonnelles faiblissent, les couples se déchirent, les amitiés se brisent et les relations se dénouent. Sans parler de la communication au travail…
Encore moins si vous vous lancez en Freelance et devez tout à coup gérer votre prospection, tenir des entretiens de ventes, gérer les clients insatisfaits ou encore relancer vos fournisseurs et tout cela de façon subtile et précise.
Pire que cela, il devra expliquer son activité à ses amis et à sa famille tout en subissant la pression de ses proches.
Certains tirent la sonnette d’alarme en tapant sur les réseaux-sociaux, le digital ou encore les téléphones portables qui pour eux sont une plaie à l’interaction sociale.
De mon côté, je suis moins catégorique, et je pense sincèrement que le problème est bien plus profond que cela. Que cela vient des bases mêmes de la communication et qu’en modifiant quelques détails, quelques perceptions on peut faire de grands progrès.
A qui s'adresse ce livre ?
Dans ce livre, je vais vous expliquer comment gérer votre pression et la relâcher ailleurs que sur votre interlocuteur. Je me répète, mais vous énerver vous fait surtout du mal à vous.
« Je suis timide… 😨 »
Croyez-moi ou non, plus jeune j’étais très timide. Pourtant, aujourd’hui j’aime parler, j’aime discuter avec les autres et je suis plutôt extraverti. Pourquoi ? Car j’ai appris que communiquer, c’était avant tout écouter.
« C’est la faute aux réseaux sociaux… 📲 »
Les problèmes de communications existent depuis la nuit des temps. Les réseauxsociaux ont uniquement amplifié les problèmes et ne sont pas responsables de ceux-ci.
« Rien ne marche, j’ai déjà tout essayé. 😞 »
Le problème avec les hacks trouvés gratuitement sur internet ? Ils sont tous périssables…
Dans ce livre, je vais vous donner des conseils profonds qui vous aideront toute votre vie et non des conseils de surface comme : il faut offrir des fleurs à votre compagne pour qu’elle soit heureuse.
Oui, cela peut fonctionner sur le court terme, mais il faudra bien plus qu’un bouquet de roses pour qu’elle soit heureuse.
Ne le lisez pas si :
Vous êtes déjà épanoui dans votre vie et dans vos relations avec les autres !
En effet, si vous êtes heureux, épanoui dans votre vie et avez de très bonnes relations avec votre entourage, il n’est clairement pas intéressant de vous pencher sur ce livre. Cependant, si vous êtes ici à me lire, je pense que vous avez besoin d’améliorer vos relations et votre communication avec les autres. Sinon, pourquoi auriez-vous pris le temps de lire 3 chapitres et 6 articles de blog sur comment améliorer sa communication avec les autres ?
Vous n’aimez pas lire.
Effectivement, ce livre n’est pas fait pour les personnes qui détestent la lecture. J’ai décidé d’ajouter un personnage afin d’augmenter la facilité de la lecture et de le rendre un peu plus vivant. Le problème, c’est que je vais moins à l’essentiel et prends du temps à donner de nombreux exemples. Cependant, je dois vous avouer une chose : Me mettre à la lecture à changer ma vie ! J’étais malheureux et dépressif jusqu’au jour où j’ai ouvert mon 1er livre de développement personnel, puis le 2ème, le 3ème etc… Aujourd’hui, si je suis heureux et épanoui dans tous les aspects de ma vie c’est en grosse partie dû à ma nouvelle passion pour la lecture.
Vous n’avez pas le temps de lire.
On est d’accord, si vous n’avez pas le temps de lire, cela ne sert à rien d’acheter ce livre. En effet, il ne vous apportera rien s’il est rangé sur une étagère à attendre que vous l’ouvriez un jour. D’ailleurs, peut-être que vous n’êtes pas prêt à améliorer vos relations avec les autres et à augmenter votre bonheur de manière significatif.
Alors qu’attendez-vous ?
Introduction
Un problème de communication ?
Partie 1
Ce qu’il faut éviter à tout prix éviter.
Partie 2
Les bonnes pratiques.
Partie 3
La pratique vaut 1 000 mots.
Conclusion
Aller plus loin.




Poser des questions : Chapitre 4.
“ Salut ça va ? “
“ Bien et toi ? “
“ Bien merci “.
“ D’accord “
“ Vu. “
Combien de fois ça m’est arrivé quand j’étais au collège ou au lycée.
Vous rentrez chez vous, vous voulez parler à la fille qui vous fait vibrer en cachette, et vous ne savez pas du tout quoi vous dire.
Alors quelle est selon vous la meilleure façon d’apprendre à connaître quelqu’un ?
Lui poser des questions.
Comment savoir ce que votre ami apprécie ?
Lui poser la question.
Comment savoir comment rendre heureux votre conjoint ?
Lui poser la question.
Comment savoir pourquoi votre ami est triste ?
Lui poser la question.
Comment savoir si ?
Vous avez compris…
C’est tout aussi bête que ça en à l’air. Si on veut une réponse, il faut simplement la demander et la meilleure solution pour cela, c’est de poser la question.
Ah oui, n’oubliez pas d’écouter à ce moment-là et non pas juste entendre.
S’énerver ne résout rien : Chapitre 9.
“ Non mais tu rigoles j’espère ?! “
Oups, j’ai peut être été un peu loin là…
Si il y a bien une manière de rompre un débat, c’est de s’énerver contre son interlocuteur.
Alors pourquoi est-ce que nous nous énervons lors d’une dispute, d’un moment de désaccord ou d’un débat agité ?
Tout simplement pour relâcher la pression. Vous énerver vous fait simplement du bien, vous crachez votre venin, votre mécontentement et vous vous sentez plus léger d’un coup.
D’accord, mais du coup, comment cela se fait que ça ne marche pas si nous énerver nous fait du bien ?
Simplement car vous ne lâchez pas dans le vide. Vous ne vous énervez pas contre un sac de frappe, ou contre vous mêmes non.
Vous vous énervez contre votre interlocuteur.
Cela fait donc totalement l’effet inverse. Au lieu de relâcher votre colère, votre pression, vous la transmettez à la personne en face de vous.
Du coup, la discussion s’envenime et votre colère prend le dessus. ( Souvent pour rien d’ailleurs, pour des détails insignifiants ).
Au lieu d’échanger sur le problème, vous allez trouver toutes les solutions possibles pour vous sortir de là.
Vous allez critiquer ce que dit votre interlocuteur, faire remonter des souvenirs oubliés depuis longtemps et votre relation va en prendre un gros coup.
Alors restez calme. Je sais à quel point cela peut être difficile, mais vous énervez ne vous mènera à rien. Au mieux, vous allez vous fâcher avec votre interlocuteur, au pire, vous allez détruire votre relation.
En venir au fait : Chapitre 14.
“ Tout ce pitch pour ça ? “
Bah quoi, il est pas bien mon pitch ? Il est trop long c’est ça ?
Clairement !
Combien de fois j’ai eu envie de dire à un vendeur : MAIS VIENS EN AU FAIT !
Non mais c’est vrai, la plupart du temps on nous noie dans des détails complètement inutiles. On passe 1h à débattre avec un gars sur son produit alors qu’on ne veut même pas acheter.
Alors que l’on souhaite juste des explications claires, simples et concises.
Lorsque j’avais mon Agence Web, j’avais régulièrement des commerciaux qui venaient frapper à ma porte. ( Enfin, plutôt sur mon téléphone ou sur les réseaux-sociaux ).
A chaque fois il me vendait les 12 millions de qualités de leurs produits, alors qu’un seul point m’intéressait.
Par exemple, je cherchais une solution pour faire un site e-commerce ( vente en ligne ) pour un de mes clients.
J’hésitais entre 3 solutions et j’ai eu la chance d’avoir un commercial d’une des entreprises en question au téléphone pour un potentiel partenariat.
J’ai passé plus de 2h à parler avec eux, ils m’ont montré tous les points positifs de leurs plateformes, tout ce qu’il fallait savoir etc…
Sauf que mon client n’avait pas un gros budget, et cette plateforme était 4 à 5 fois plus chère que les autres.
Si nous avions commencé par parler tarif, la réponse aurait été directement non et nous n’aurions pas perdu de temps.
Au lieu de cela, ni le vendeur, ni moi n’avons parlé des choses essentielles, nous avons préféré des détails techniques comme le langage de programmation utilisé ou leurs fonctionnalités liés à la sécurité.
Ce sont certes des détails qui peuvent avoir leurs importance, mais dans un second temps.
Résultat ? Nous avons perdu une demi-matinée tous les deux pour rien.
Silence lent : Chapitre 15.
“ Allo Bobby, ici la terre “
Tu crois qu’il est encore sur la lune là ?
J’en suis pas sûr… Il doit être au moins en train de dériver sur Mars là.
Avouez-le ou non, ce genre d’absence arrive. Il ne s’agit pas ici d’un moment de latence non, mais d’un moment d’absence total.
Et c’est tout à fait normal, certains appellent ça être dans leurs pensées. Vous êtes tellement concentré sur un souvenir que vous en oubliez tout le reste.
A savoir que le cerveau n’est pas aussi bien rangé qu’une étagère. Vous n’avez pas un tableau mental organisé par ordre chronologique. Loin de là…
Cela se produit souvent parce-que :
Une image, un texte ou encore une sensation vous a fait penser à ce souvenir.
Vous avez mal vécu quelque chose et il revient vous hanter.
La première, vous êtes assis là, sur le banc d’un parc à lire votre livre préféré, ( le mien j’espère ahah ) lorsque vous lisez : “ Lorsque j’étais en voyage en Italie “.
Vous stoppez votre lecture et vous repensez à votre dernier voyage en Italie justement, les gondoles à Venise, les bons restaurants, l’hôtel etc… Vous rêvez tout simplement, vous vous souvenez de ce bon souvenir et vous avez une grande envie de repartir.
La seconde, beaucoup moins drôle, vous êtes là, à regarder la télévision seul sur votre canapé.
Quand un souvenir triste vient vous hanter. Malheureusement, cela veut dire que ce souvenir n’a pas été résolu, vous n’avez pas fait le deuil de ce souvenir et il revient vous hanter comme un fantôme. La seule solution ici de vous protéger est de régler le problème lié à ce souvenir.
Cela m’arrive parfois de partir à la dérive quand je sors de mon appartement. Le problème, c’est qu’une fois dehors, je me dis : “ Mais attends, tu as bien fermé la porte ? Tu es sûr qu’il n’y a rien qui traine ? Parce que sinon le lapin va s’en occuper. “
En soit, partir à la dérive n’est pas quelque chose de grave, bien au contraire, mais attention de reprendre rapidement le contrôle si c’est à un moment important ou à un moment qui vous dérange.
Les mains : Chapitre 16.
“ Pourquoi le président de la république bouge ses mains dans tous les sens lorsqu’il parle ? Il a la tremblote ? “
Ahah non, il renforce ses propos par ses gestes.
C’est vrai que si il en fait trop, on peut se poser des questions et cela peut le desservir, mais placé au bon moment, les gestes permettent vraiment d’appuyer une phrase précise.
Je ne parle pas ici d’apprendre le langage des signes, même si vous l’aurez compris c’est une possibilité. Je parle ici d’appuyer vos propos par vos gestes, cela permet d’une part de rythmer et d’illustrer votre discussion mais également d’éviter les gestes parasites.
Quelques exemples que l’on à tendance à faire inconsciemment :
Lorsqu’on est enfant, on nous dit souvent : “ Ne montre pas du doigt, c’est très malpoli. ” Pourtant, une fois adulte, la plupart continue à le faire. ( moi le premier ). Montrer du doigt peut servir à deux choses.
La première, vous montrer quelque chose à votre interlocuteur, une personne, une partie d’un joli paysage, un animal ou autres.
La seconde, un peu plus rare, vous discutez devant un groupe et vous montrez du doigt un individu, afin qu’il sache que vous vous adressez à lui. Par exemple pour le faire venir ou insistez sur un point précis qui a beaucoup de sens pour cette personne.
Sinon, la meilleure façon de faire comprendre à un interlocuteur que l’on se contrefout de ce qu’il dit ou alors qu’on est pas du tout d’accord est de croiser les bras. Cela veut dire : je suis fermé à la discussion. Attention, car très souvent, on le fait de manière inconsciente.
La seconde meilleure façon de faire comprendre à un interlocuteur que l’on se contrefout de ce qu’il dit est se tenir la tête de façon nonchalante. Cela veut dire : JE M’ENNUIE à mourir !
Autre chose que l’on fait souvent sans s’en rendre compte, mettre sa main devant sa bouche. Vous êtes là, en train de réfléchir à un problème compliqué que vous n’arrivez pas à résoudre, et instinctivement vous mettez votre main devant votre bouche. Comme si messieurs vous caresser la barbe allait résoudre le problème…
La dernière que je vais vous présenter, c’est la main sur le thorax. Synonyme d’un choc émotionnel, ce geste est souvent utilisé lors d’une phrase blessante à son encontre ou lorsqu’on est jugé à tort. C’est un peu comme montrer la puissance de ce choc, un peu comme une plainte ou alors pour montrer aux autres que votre interlocuteur à été trop loin.
Attention lorsque vous faites cela inconsciemment car tout cela à un sens. Par exemple, si vous croisez les bras ou si vous vous tenez la tête pendant une discussion avec un ami, il risque de comprendre que ce qu’il dit vous embête.
Une autre question ? Contactez-moi directement : contact@nicolas-gadeyne.fr

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« Si la technologie de communication est de plus en plus développée, pourquoi sommes-nous chaque jour plus sourds et plus muets ? »
– Eduardo Galeano.
- Les 3 premiers chapitres.
- De nombreux bonus.
Je vais essayer de faire assez synthétique, car j’avoue être plutôt bavard. Vous vous en doutez bien…
Jeune branleur de lycéen, sécheur de cours de profession mais décidé à faire plaisir à ma mère, je me donne au mieux pour réussir mes maigres études et avoir mon baccalauréat.
Pour information, j’ai repris tous mes cours 1 mois avant de passer l’examen et j’ai révisé au minimum 5h par jour dans ma bulle. J’avais dit à ma mère que j’aurai mon diplôme, alors il fallait bien que je me bouge les fesses pour l’avoir.
1ère semaine de Juillet, on m’annonce que j’ai mon baccalauréat avec mention. Je suis choqué, c’est du vol, comment un gars comme moi, qui a passé ses journées de cours à bavarder ou à dormir a réussi à avoir une mention.
Comme quoi, quand on se donne les moyens de réussir, on peut être surpris.
3 semaines après, ma vraie vie démarre. Je prends le volant de ma vieille 206, direction Rochefort afin d’entrer à l’école de Gendarmerie.
De jeune branleur je passe à jeune élève soucieux, sérieux et voulant faire du mieux qu’il peut.
Pourquoi ? Parce que je sais pourquoi je le fais, je le fais pour moi, pour être Gendarme et c’est selon moi ( à cette époque ) ma vocation. J’aimais aider les autres, et je me suis dit qu’il n’y avait pas meilleur moyen de le faire qu’en Gendarmerie.
Je sors de ce stage après 3 mois avec une note honorable et pars ce coup-ci en direction de la Bretagne où j’y passe 2 ans. C’est l’éclate pour moi, je suis heureux et épanoui mais il faut bien que je monte en grade pour évoluer.
Je passe donc mon concours de Sous-Officier et retourne sur les bancs de l’école. Dans la plus magnifique des villes : Tulle !
Et là, j’enchaîne les problèmes…
Je commence d’abord par laisser une épaule sur le parcours du combattant, suis contraint d’arrêter ma formation, de me soigner et d’en recommencer une nouvelle.
C’est assez compliqué pour moi, je me pose un tas de questions, mais je serre les dents comme on m’a appris à le faire et j’avance.
Quelques mois plus tard, je reprends ma formation mais un deuxième drame arrive.
Je me réveille un matin avec une douleur thoracique, je stress et me pose des questions : “ C’est bizarre non ? Dois-je consulter ? Non ça va aller… Oui mais on sait jamais ? “
Je décide tout de même d’aller voir le médecin militaire, et j’ai plutôt bien fait. Après quelques questions, il me fait passer un électrocardiogramme, me regarde et me dit : “ Je reviens, je vais appeler un ami. “
Je ne sais pas comment réagir, dois-je le prendre pour un fou ? Un incompétant ou bien m’inquiéter ?
Il revient vers moi, regarde les résultats de l’électro et me dit : “ Bon j’ai appelé un ami Cardiologue, je ne sais pas ce que tu as, mais c’est pas normal, je t’envoie aux urgences ! “.
2 semaines d’hospitalisation plus tard, le résultat est sans appel, j’ai un problème cardiaque.
A peine rentré à l’école de Gendarmerie, on me met à la porte, on me dit que c’est fini, que je ne peux plus être Gendarme, de prendre mes bagages et de rentrer chez moi.
Mais où ?!
Je n’ai plus de chez moi, mon boulot c’est Gendarme, ma maison c’est la caserne, mes amis sont Gendarmes, et ma vie tourne autour de la Gendarmerie.
Je ne vais pas vous mentir, ça été l’épreuve la plus difficile de ma vie !
Je retourne vivre chez mes parents, en mauvaise santé et dépressif…
Et puis je sombre, un peu plus chaque jour, jusqu’au moment où je me dis : “ Bon maintenant, faut sortir la tête de l’eau, sinon tu vas finir par te noyer ! “
Je n’aimais pas lire, je trouvais ça ennuyeux, long et n’y voyait que peu d’intérêt. ( Oui oui, j’étais idiot à l’époque ), mais ce jour là, je décide de lire un livre sur le développement personnel. ( Apparemment, ça pouvait m’aider ).
Puis un deuxième.
Puis un troisième.
Et des dizaines de livres plus tard, je suis catégorique : Les livres m’ont énormément apportés.
Ils m’ont aidé à comprendre que le bonheur était un choix, qu’il fallait aimer ce que l’on a et qu’il y a bien d’autres façons d’aider les autres qu’en étant Gendarme.
Je sors donc la tête de l’eau, comprend que ma vie n’est pas éternelle, et qu’il faut la vivre maintenant, intensément et sans regret, avant qu’il ne soit trop tard.
Je rejoins ma compagne à Arcachon et débute une formation dans la création de site web.
Je me forme au marketing, à la communication et décide de me lancer à mon compte. Cela fonctionne bien, alors je monte une Agence Web et nous nous retrouvons rapidement à 5 collaborateurs.
Et puis, un nouvel échec arrive, j’arrête mon activité.
Pourquoi ? Car je ne me sentais pas à l’aise, mon objectif de vie était d’aider les autres et là je passais mes journées à gonfler l’égo et le compte en banque de mes clients. ( Qui parfois avait une éthique douteuse ).
Alors je décide d’aider des associations caritatives à mieux communiquer, mais là encore, je n’étais pas persuadé du bien fondé de mes actes. Je suis un homme d’action, j’aime aider les autres concrètement, pas être dans l’ombre.
Et puis, je commence à écrire sur un sujet qui me passionne : “ le développement personnel “, et ce projet est né.
Aujourd’hui, mon objectif est d’écrire de nombreux livres ( et bien d’autres projets ) afin d’aider les personnes à s’épanouir et à devenir heureuses, comme certains ouvrages l’ont fait pour moi à une époque.
J’ai toujours eu ce besoin et cette envie d’aider les autres, alors aujourd’hui, je fais du mieux que je peux en écrivant le résultat de mes expériences et recherches sur le développement personnel.